Eh oui, au départ, je voulais de la couleur !

Et il fallait un duo qui puisse attirer l'attention du lecteur

et lui donner envie de prendre le livre et de mettre le nez dedans...

On a donc fait plusieurs essais...

Celui-ci me plaisait beaucoup.

Le côté moderne de la police d'écriture donnait une petite touche de mystère qui n'était pas sans refléter le contenu de l'ouvrage...

Plusieurs essais en vert...

et puis en orange... comme la vue change !

mais finalement,

en arrêtant mon choix sur celui-ci...

une fois le BAT (Bon À Tirer) en mains...

le contraste de couleurs ne mettait pas du tout le livre en valeur...

Alors...

changement de cap radical...

un accord beaucoup plus classique

mais aussi classe...

et la couverture définitive,

avec quelques modifications de police d'écriture...

fut celle-là !

lien site internet

Un grand moment !

Oui, lorsque l'on découvre enfin l'objet de ses rêves... et qu'on peut le prendre, le feuilleter, l'admirer...

Ce roman-là, j'ai fini par penser qu'il ne verrait jamais le jour.

Retour en arrière...

Lorsque j'ai la chance de le présenter à une grande maison d'édition parisienne alors que je suis encore étudiante, grâce à un romancier qui croyait en ma capacité à devenir écrivain... je suis très surprise d'entendre :

- Alors, dites-moi, comment avez-vous rencontré BL ?

! ! !

Quel rapport avec le manuscrit ?

Aucun !

La directrice de collection - Livre de poche jeunesse - me demande de retravailler le livre, d'étoffer quelques chapitres et de revenir ensuit lui présenter mon travail.

Je découvre que le monde de l'édition n'est pas vraiment celui que j'ai imaginé, derrière la porte qu'on vous a aidé à pousser...

Je mets un certain temps à revoir ma copie et lorsque j'adresse de nouveau mon manuscrit, j'apprends que la directrice est partie et qu'un directeur l'a remplacée... et que ce dernier n'est pas du tout intéressé par mon roman.

Il restera de longues années dans un tiroir... (le roman, pas le directeur...) jusqu'à ce que je rencontre Gaestel.

Nous ne rentrerons pas dans les détails qui font que j'en viens un jour à parler des "23 Vies" à Gaestel mais toujours est-il qu'elle est tout de suite partante... malgré un planning très chargé.

Pour chaque chapitre, je lui explique que je désire qu'elle crée des lettrines... qui seront en fait les numéros de chaque vie, de 1 à 23... lettrines auxquelles seront associées un élément propre à chaque personnage principal.

Un exemple ? Je vous mets l'un de mes préférés, celui du chapitre 5.

Gaestel me fait plusieurs propositions d'illustrations et je choisis celle qui correspond le mieux, à mon avis, au chapitre concerné.

 Et la couverture du livre ?

Eh bien, je vous en reparlerai très prochainement.

Je ne vais tout de même pas tout vous dévoiler en une seule fois !

achat internet

On ne le dira jamais assez...

La clef de la réussite, c'est la persévérance !

Ce roman... cela fait très très très longtemps que j'attends  de le voir prendre forme "humaine"...

Nous y voilà enfin !

Pourquoi les 23 vies ?

Tout simplement parce que j'avais 23 ans quand j'ai commencé à l'écrire. Je l'ai terminé 6 années plus tard... et il va être publié dans les jours à venir.

Je devrais recevoir le BAT (Bon à Tirer) dans ma boîte aux lettres dès demain...

ce sera un grand jour...

Premier roman mais aussi roman très spécial car il est en quelque sorte interactif...

Comment cela ? Eh bien, le lecteur peut le lire de différentes façons et est très impliqué dans la lecture du livre, à partir du moment où il décide de le lire... jusqu'au bout !

???

Vous êtes intrigué(e) ?

Parfait !

Dès que je l'aurai, moi aussi, entre les mains, je devrai vous avertir qu'il changera à jamais votre vie... de lecteur, cela va sans dire !

Le dessin qui illustre cette présentation ?

Un petit montage que j'ai voulu faire...

Que signifie-t-il ?

Ah, pour le savoir, il faut avoir le livre... entre les mains !

Cela n'est plus, je vous rassure, qu'une question de jours !